La blockchain va servir à libérer les énergies économiques, financières et juridiques de l’Afrique

Le Continent africain commence à s’emparer de la technologie des chaînes de blocs pour accélérer son développement dans tous les secteurs de l’économie, de la finance, de l’immobilier et du droit des affaires. Les start-up spécialisées dans la blockchain et les cryptomonnaies, qu’elles soient d’origine africaines ou pas, constituent un vivier d’innovation sans précédent.

Par Charles de Laubier

« La technologie blockchain peut d’ores et déjà apporter un certain nombre de solutions pour de nombreux cas d’usage : gouvernance et identité, cadastre et agriculture ou bâtiment, médicaments contrefaits, traçage des aides, traçabilité de la filière bois, recettes fiscales, protection de la propriété intellectuelle, échange d’électricité en peer-to-peer, … », ont expliqué le Medef International et Lex4, les organisateurs d’un séminaire qui s’est tenu le 10 juillet 2019 dans les locaux à Paris de la banque publique française d’investissement Bpifrance. « La blockchain constitue une révolution majeure de la technologie ; elle est en train de ‘disrupter’ et ‘booster’ énormément des pratiques dans presque tous les secteurs d’activités », explique à CIO Mag le jeune entrepreneur ivoirien Achille Agbe, directeur général de Lex4.com, une plateforme éditée par la société Lexafrika pour accompagner juridiquement les entreprises, et ce conformément au droit dit « Ohada » sur le Continent…

Il vous reste 98% de cette enquête sur la blockchain à lire dans CIO Mag N°59 Septembre / Octobre 2019

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