Sénégal : la 4e conférence des Mardis du Numérique va porter sur la presse

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  • 6 septembre 2017
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(CIO Mag) – Après le commerce électronique, la transformation digitale et la formation à l’heure des TIC, le cycle de conférence “Les Mardis du Numérique” va reprendre ses droits à partir de ce 12 septembre à Dakar. Pour la quatrième édition, les organisateurs vont mettre l’accent sur le coupe médias-numérique. L’intitulé est déjà très éloquent à ce sujet : “Les médias dans la tourmente du numérique : régulation ou libre expansion ?” Le professeur Abdoulaye Sakho de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar, un spécialiste du domaine, est annoncé comme panélistes tout comme l’ancien patron de la Commission des Données Personnelles du Sénégal (DCP), Mouhamadou Lô, un juriste également qui conseille aujourd’hui le directeur général de l’ADIE. Le coordinateur de la plateforme commune stratégique chez Enda Tiers Monde, Cheikh Gueye, va aussi participer aux débats.

Les Mardis du Numérique reprennent donc après une longue pause due aux législatives qui se sont tenues le 30 juillet dernier. Cette série de conférences se donne pour ambition de « servir de plateforme d’examen des différentes problématiques liées à la construction numérique et à la transformation numérique » comme l’explique les organisateurs pour qui, l’initiative doit être « un plateforme de consolidation de la mise en œuvre de la stratégie Sénégal Numérique 2025 » et « susciter de nouvelles vocations et un nouvel intérêt pour la chose numérique pour des acteurs qui ne se sentaient jusque-là pas interpellés ». La première édition avait porté sur le commerce électronique et avait réuni du monde. Mais, l’édition qui a le plus enregistré de participants a été sûrement celle qui a porté sur la formation dans un contexte de digitalisation accrue. La rencontre a été présidée par le ministre en charge de l’Enseignement supérieur. Le professeur Mary Teuw Niane avait demandé une meilleure implication des parties prenantes pour passer du statut d’observateur à celui d’acteur.

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Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h.

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