Sommet africain de l’Internet : le Sénégal va participer à hauteur de 170 millions FCFA

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  • 12 décembre 2017
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(CIO Mag) – Les préparatifs autour du Sommet africain de l’internet prévu à Dakar au mois d’avril 2018 se poursuivent. Une deuxième rencontre qui a eu pour cadre le siège de la Sonatel, l’une des parties prenantes, a permis de faire le point sur l’état d’avancement des travaux. On sait déjà que c’est l’hôtel Radisson Blue qui va accueillir l’événement. Par ailleurs, le comité scientifique et le comité en charge de l’organisation ont été mis en place, renseigne Cherif Diallo, le point focal au niveau du Sénégal. Le directeur des TIC au ministère des Télécommunications et de l’Economie numérique annonce également qu’une campagne de sensibilisation va être lancée pour « que tout le monde s’inscrive à la semaine de renforcement de capacités qui démarre le 29 avril ». Pour lui, c’est « important que l’ensemble des ingénieurs techniques, des opérateurs privés et publics puissent s’inscrire à travers le lien afnog.org/applications/online_fr.php

Il faut souligner qu’une partie du budget du séminaire sera entièrement prise en charge par le Sénégal à travers la subvention dégagée pour le sommet. Et en ce qui concerne le montant, il tourne aux alentours de 170 millions CFA, les 70 % devant être versés par l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP). Prévu du 29 avril au 11 mai 2018, le sommet africain de l’internet vise à répondre aux besoins en constante évolution de l’industrie des TIC et de l’ingénierie IP tout en intégrant l’utilisation et l’impact des technologies IP. Des séances comprenant des aspects techniques et commerciaux de l’Internet comme le renforcement des capacités, l’infrastructure, la sécurité, les numéros de l’internet ainsi que la recherche sont prévues. L’idée est surtout d’amener les principaux acteurs de l’écosystème à mieux profiter des services du numérique.

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Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h.

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