Sénégal : vers la création d’un think tank pour les Fintech

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  • 10 septembre 2017
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(CIO Mag) – Un club de pensée réunissant les startups sénégalaises spécialisées dans les services financiers va bientôt voir le jour. Un premier jalon a déjà été posé jeudi dernier lors d’un atelier organisé par le programme “Mobile money for the poor” porté par le United Nations Capital Development Fund (UNCDF). « Aujourd’hui, on a constaté que, dans la finance digitale, il y a les gros opérateurs qui détiennent les gros parcs de clients, mais il y a une catégorie d’acteurs très innovants également, mais qui n’ont pas la même audience auprès de l’opinion publique, des médias et même des régulateurs », explique l’un des consultants de cette instance des Nations-Unies, Serge Moungnanou. A l’en croire, « l’objectif du think-tank, c’est de réfléchir aux solutions pratiques pour ce type d’acteurs et de permettre que les régulateurs, l’opinion publique et les médias soient mieux au courant de ce qu’ils ont à offrir et qu’ils aient également des conditions qui leur permettent de s’épanouir en tant que business sur le marché ».

Seulement, pour le moment, rien de concret n’a été arrêté pour la mise en place de l’organisation en question. « Nous comptons l’organiser (la rencontre, Ndlr), de façon régulière. Il faut encore qu’on s’entende sur la fréquence des différentes sessions, nous pensons probablement à un événement trimestriel avec les Fintech de la place pour réfléchir sur les problématiques que nous avons identifiées aujourd’hui », ajoute-t-il. L’idée de la création du think-tank a été retenue à l’issue d’un atelier sur la finance digitale qui a réuni les journalistes et les startups spécialisés, des responsables de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), du programme Mobile money for the poor des Nations-Unies. Un cadre pareil devrait aussi être mis sur pied prochainement pour réunir les journalistes qui s’intéressent à la question.

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Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h.

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