Les acteurs du numérique devaient appuyer sur le clavier et tenter leur chance ; chance de gagner le Prix UNESCO-Roi Hamad bin Isa Al Khalifa pour l’utilisation des technologies de l’information et de la communication dans l’éducation. Financé par le Royaume de Bahreïn, le prix a créé en 2005. Il va récompenser pour cette année des projets et des programmes qui utilisent les technologies comme levier pour permettre l’accès à l’éducation aux groupes vulnérables et marginalisées. Le dépôt des candidatures lancé il y a quelques jours prend fin le 31 octobre 2018.
(CIO Mag) – Tout candidat doit noter ces quelques conditions. Les candidatures et nominations doivent être envoyées en anglais ou en français par le biais de la plateforme de candidature en ligne. Mais il faut surtout s’inscrire pour les nouveaux utilisateurs de cette plateforme.
Le site Web du Prix UNESCO pour l’utilisation des TIC dans l’éducation permet également de mieux comprendre les critères d’éligibilité et le processus de soumission et de nomination de même que le jury international en charge des études des dossiers de candidatures.
Ces dernières années, le prix a encouragé l’utilisation des nouvelles technologies pour élargir les opportunités d’éducation et améliorer l’accès à une éducation de qualité pour les groupes vulnérables qui en sont privés en raison d’obstacles culturels et économiques, de handicaps, d’inégalités de genre et/ou de situations de crise Les technologies de l’information et de la communication étant des outils, présentent un grand potentiel pour trouver des solutions rentables pour éliminer ces obstacles, afin que tous les individus puissent jouir pleinement de leur droit à l’éducation.
Le ministère sénégalais de l’enseignement supérieur et de la recherche, partenaire du projet rappelle que « Cette année, le prix mettra en lumière des projets qui utilisent des solutions intégrées mêlant technologies couramment utilisées et applications innovantes, telles que les technologies de pointe pour surmonter les obstacles liés aux infrastructures ; les solutions pour réduire les frais d’accès ; les innovations en matière d’apprentissage en ligne ; les systèmes de gestion de l’apprentissage intelligents ; les machines de traduction ; les « big data » ; et les technologies d’imagerie ».
Les deux lauréats qui seront désignés recevront chacun, une récompense de 25 000 dollars US, lors d’une cérémonie de remise des prix prévue en mars au Siège de l’UNESCO à Paris.
Les gouvernements des États membres de l’UNESCO et les ONG en partenariat officiel avec l’UNESCO sont encouragés à sélectionner les meilleurs projets et à présenter jusqu’à trois candidatures.
Joe Marone