(CIO Mag) – Le gouvernement britannique, tout comme d’autres institutions similaires dans le monde n’échappent pas aux attaques informatiques de toutes sorte qui défraient régulièrement la chronique. Comment les officiels font face à ces questions ? Quelles stratégies déploient-t-elles pour entrer en possession de leurs capacités suite à des assauts cybercriminels ? Telles étaient les questions principales sur lesquelles a été axé le forum d’Alger.
La rencontre qui a réuni des experts et analystes des deux pays a permis de faire un large partage de l’expérience britannique en la matière. A en croire l’ambassadeur du Royaume-Uni en Algérie, la Grande Bretagne “a mis tous les moyens matériels et financiers pour la protection des données.
Cité par le site APS.DZ, Barry Lowen a rappelé que son pays, très en avance en ce qui concerne la lutte contre la cybercriminalité de plus en plus grandissante, a mis en place dès 2016 le National Cybersecurity Center dont la mission est de protéger les installations informatiques publiques sensibles tout en faisant la jonction avec les entreprises issues du privé. M. Lowen ajoute qu’une enveloppe de 2 milliards 400 milliards de dollars a été dégagée pour la période 2016-2021.
D’après les informations rapportées par le site APS. DZ, le National Cybersecurity Center a comptabilisé 44.000 cas d’attaques informatiques depuis 2016. Pour Barry Lowen, l’objectif de la Grande Bretagne est de partager son expérience avec l’Algérie tout en tachant de nouer des partenariats gagnant-gagnant dans la lutte contre le mal.