Interférences des fréquences radio à Dakar : le DG de l’ARTP dédramatise

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  • 11 septembre 2017
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(CIO MAG)- Les perturbations notées souvent dans l’émission des programmes radio à Dakar sont certes à regretter, mais elles ne sont pas extraordinaires pour autant. C’est en substance ce qu’a déclaré ce lundi le directeur général de l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes du Sénégal (ARTP). “Ce sont des choses qui arrivent de manière régulière, mais à chaque fois que l’ARTP est saisie de cette question, nous dépêchons nos équipes pour faire des mesures et demander dont les fréquences sont en train de baver – c’est le terme que nous utilisons – sur les autres d’arrêter et de mettre les bonnes puissances et les bons réglages”. Abdou Karim Sall qui appelle les intéressés à plus de rigueur dans le respect des dispositions concernant l’attribution des fréquences rappelle qu’à chaque fois, le régulateur prend soin de ne pas donner des fréquences contiguës. Monsieur Sall a aussi révélé qu’une réflexion est en ours autour de l’attribution des fréquences à Dakar.

Lors de l’ouverture de la deuxième réunion de l’Union Africaine des Radiocommunications préparatoire à la conférence mondiale dans le domaine prévue en 2019, le secrétaire général a tenu à préciser que le continent ne rencontre aucune difficulté dans l’adoption d’une position commune pour l’Afrique pour ce qui est des principaux points qui figureront dans l’ordre du jour. A en croire Abdoul Karim Soumaila, “ce n’est pas la première fois que l’Afrique se retrouve pour préparer la conférence”. “C’est la troisième conférence qu’on prépare ensemble et nous avons toujours défendu notre point commun”. Au nombre des priorités pour le continent; des services de télécommunications et de TIC de qualité. Ce qui passe nécessairement par le développement du large bande en particulier dans le monde rural avec la disponibilité des fréquences. Ce qui serait une bonne nouvelle pour les investisseurs et les Etats. La réunion qui a regroupé près de 200 délégués en charge de la gestion et du spectre des fréquences en Afrique va prendre fin vendredi.

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Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h.

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