Séminaire sur la transformation digitale : le DG de Wiss Africa parle d’une rencontre réussie

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  • 10 juillet 2017
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(CIO Mag) – Le patron de la société Wiss Africa spécialisée dans l’innovation numérique en Afrique se dit satisfait après la tenue du séminaire dédié à la transformation digitale et à la sécurité qui a eu lieu dernièrement à Dakar. A en croire Samba Sène, les échanges entre experts issus de plusieurs horizons ont permis de faire bouger les lignes. “Ce qu’on peut globalement en tirer, c’est que le terme de la transformation digitale a été mieux compris par les participants et je crois que la plupart en sont sorti en disant “Il faut que je fasse quelque chose dans ce domaine-là”, explique-t-il avant de poursuivre “La deuxième chose qui en est sortie, c’est que les participants ont également compris que pour mener la transformation digitale, il faut des fondations solides et une de ces fondations, importantes, solides, c’est la cybersécurité et je pense que les participants l’ont compris. Et je pense également que les participants ont compris que la transformation digitale est un processus long et profond et non, de la cosmétique”.

Par ailleurs, Monsieur Sène a tenu à souligner que la deuxième vague de cybercriminalité qui a affecté plusieurs pays de la planète après celle causée par le virus WanaCry a coïncidé avec le premier séminaire dans le domaine organisé par son entreprise. ” Cela a juste corroboré notre conviction que, dans un processus de transformation digitale, il faut avoir en permanence le souci de la cybersécurité et mettre en place les processus qu’il faut tenir compte des problèmes de cybersécurité tout le long de son processus de transformation digitale”. Au cours de ces discussions de haut niveau, le public a eu droit à des présentations et démonstrations de produits et services digitaux de start-up, des conférences et des panels ainsi qu’une demi-journée de présentation de produits et services dans le domaine de la cybersécurité.

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Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h.

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