Congo : la dernière ligne droite pour le Backbone national

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  • 23 août 2017
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(CIO Mag) – Les autorités congolaises peuvent enfin pousser un ouf de soulagement. La construction du Backbone national va bientôt s’achever. C’est une révélation du site ticmag.net. L’annonce émane du séminaire ministériel sur les expériences du développement de la Chine pour les pays francophones auquel a pris part le ministre en charge des Postes et Télécommunications. Léon Juste Ibombo a fait savoir que le pays s’est déjà doté d’une dorsale souterraine à fibre optique de près de 1300 kilomètres. Concernant la dernière phase qu’il faut vite terminer, M. Ibombo soutient que le projet « entend faire bénéficier à toute la population des services de communication électronique » en réunissant « toutes les conditions » de l’arrimage du Congo « au développement de l’économie numérique».

Le patron des Postes et Télécoms au Congo qui se satisfait par ailleurs du très haut débit presque partout sur le territoire promet qu’un datacenter sera bientôt mis en place par les autorités par le biais d’un partenariat public-privé, un vœu très sérieux du Chef de l’Etat. Selon lui, le président Denis Sassou Nguesso a pris la résolution depuis 3 ans déjà, de faire des technologies de l’information et de la communication des outils importants pour faire face à la pauvreté. Une ligne directrice à laquelle se conforme le gouvernement qui a fait de la couverture nationale en matière de télécoms et des TIC une priorité pour garantir l’accès des citoyens à tout ce qui est téléphonie et Internet. Cela s’est notamment matérialisé par la création d’une nouvelle société en charge de la fibre optique : la Société congolaise de fibre optique (SOCOF SA), dont la mission est de financer, construire, détenir, exploiter et gérer les infrastructures et équipements de télécommunications haut débit. Elle est dotée d’un budget de plus d’un milliard de francs CFA congolais, et l’Etat congolais y est l’unique actionnaire.

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Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h.

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