(CIO Mag) – Ils ne sont pas au bout de leur peine. 149 ex-employés des compagnies de téléphonie mobile Green’N et Comium (connue sous la marque Koz) font l’objet d’une « injustice », « la liquidation de leurs droits n’ayant été faite que partiellement », s’est offusqué Arsène Akobé, le secrétaire général du Syndicat national des agents des Postes et de l’économie numérique (Synapostel-CI), le jeudi 17 janvier 2019, à Abidjan, lors de la cérémonie de présentation de vœux du nouvel an au ministre Claude Isaac Dé, rapporte Linfodrome.com.
Ces ex-agents de Comium et Green’N réclament cette compensation depuis la perte de leurs emplois, le 1er avril 2016, consécutivement au retrait des licences des opérateurs défaillants, parmi lesquels Warid Telecom et Niamoutié K. Télécoms (Café mobile).
Selon l’Autorité de régulation des télécommunications/TIC de Côte d’Ivoire, l’effectif réel des employés concerné par cette mesure était estimé à 539 personnes. Leur cas devait être réglé dans le cadre d’une « procédure de licenciement collectif ». Certains pourraient trouver une place chez l’opérateur qui gagnera la 4ème licence, avait annoncé l’ARTCI.
Anselme AKEKO – Abidjan