49% du travail en entreprise nécessite une connexion réseau ; ¼ des tablettes et smartphones sont volées dans le monde ; 80% des employés connectés travaillent inefficacement ; 93% des travailleurs ne respectent pas les règles en milieu de travail professionnel ; le volume des données stockées dans les entreprises a atteint une croissance de plus de 100% ; 62% de ces données ne sont pas utilisées pour la prise de décision. Compte tenu de ces tendances enregistrées à l’échelle mondiale, il faut une nouvelle technologie basée sur un cloud professionnel, des services essentiels de productivité, familiers et simples, et qui offrent également une souplesse dans le choix. Ce qui impose donc de partir des besoins des clients et définir la solution la plus simple, comme la suite de productivité Office. Le directeur de la division Office de Microsoft Afrique, Marc Israël, est parvenu à cette conclusion après avoir présenté dans la matinée du mardi 23 septembre dernier, au Novotel Ivoire d’Abidjan-Plateau, les changements qui se sont opérés dans le monde professionnel, notamment aux niveaux de l’explosion des matériels, du lieu de travail devenu dynamique et du cadre réglementaire. Toutes choses qui imposent plus de contrôle et de contraintes aux entreprises. Cette présentation s’est faite à l’occasion d’un séminaire organisé par Socitech. Face aux participants, le directeur du développement international de Socitech en Afrique centrale, Jean-Luc Sampah, a souligné que ce type de rencontre est nécessaire pour partager leurs expériences, comprendre les problématiques des clients, informer ces derniers sur les innovations et tendances technologiques du marché, porter les solutions des partenaires de Socitech, notamment Microsoft Afrique de l’Ouest et du Centre à travers la solution Office 365, et mettre à disposition des compétences pour permettre aux entreprises d’atteindre leurs objectifs. Meilleure entreprise informatique 2014 de l’Union économique et monétaire de l’Afrique de l’Ouest, Socitech totalise dix (10) filiales en Afrique, avec un chiffre d’affaires de 9 milliards de Fcfa. Ce, après quatorze (14) années d’existence.