(CIO Mag) – Le nouveau président élu des Etats-Unis n’a pas été visé par le piratage supposé russe de la campagne électorale. C’est du moins ce qu’affirme le FBI. Ce nouvel élément viendrait-il enfoncer davantage Donald Trump qu’on dit être de mèche avec le Kremlin puisque épargné par l’équipe de Vladimir Poutine au cas ou l’attaque serait réelle ? Rien n’est pour le moment clair. Ce qui est sûr en revanche, c’est que l’enquête parlementaire ouverte par les chefs du Congrès américain en décembre dernier accuse bel et bien la Russie avec comme principal victime le parti démocrate et notamment le directeur de campagne de Hillary Clinton battue à la dernière présidentielle.
Donald Trump pas concerné. Le FBI annonce qu’il n’a été “touché” qu’au niveau local, ou au niveau des Etats, mais pas à l’échelle nationale. Le directeur James Comey ajoute que les informations collectées n’étaient prélevées que dans des messageries anciennes, de “vielles choses” qui n’ont pas été disséminées d’après lui. De leur côté, les Russes ont toujours démenti l’information. Va-t-on vers d’autres développements avec les révélations sur les frasques supposées du successeur de Obama ? On verra.
Ousmane Gueye