Les membres de l’AIRDC
Lancement ce week-end de l’association des investisseurs en capital en République Démocratique du Congo (AIRDC). Une structure constituée d’un collectif représentant des fonds de private equity, de venture capital, de business angels et de bailleurs de fonds.
(Cio Mag) – C’est une bonne nouvelle pour le secteur du business en République Démocratique du Congo. Une structure dédiée à l’investissement en infrastructure, private equity et venture capital a été lancée. Elle vise à soutenir « des projets, entreprises et start-ups technologiques dans des secteurs variés tels que les télécommunications, les énergies renouvelables, l’inclusion financière, l’éducation et l’agriculture », lit-on dans le communiqué.
Soutenir l’écosystème de l’investissement
En RDC, les start-up font face généralement au manque de moyens. Avec le lancement de cette association, les scores des jeunes pousses accroitront dans les différents tours de table. La politique de l’AIRDC est axée sur la mise en lumière des tendances de l’écosystème de financement dans le pays. Sur le plan technique, elle offrira des solutions de formations aux professionnels de l’écosystème de l’investissement en RDC.
L’association des investisseurs en capital en République Démocratique du Congo a été créée par les acteurs œuvrant dans le secteur du business au pays. Ces acteurs couvrent « des stratégies diverses, allant des financements de type capital investissement, capital risque mais également infrastructure, dette privée de long terme et immobilier », a déclaré Hannah Subayi Kamuanga, vice-présidente de DRC Impact Angels et l’une des créateurs de la structure.
Un pont entre les différents acteurs
En tant que forum d’échanges entre les professionnels et les autorités ainsi que les organisations internationales, elle fournira « de l’information sur les transactions et les dernières normes d’investissement ». Cette structure veut créer une nouvelle dynamique au sein du secteur d’investissement. Sur le plan juridique, elle nourrit l’ambition de faire avancer la législation financière, en l’harmonisant avec des instruments internationaux comme celui de l’organisation pour l’harmonisation en Afrique du droit des affaires (OHADA).