Sénégal : un consultant en cybersécurité tire la sonnette d’alarme

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  • 12 octobre 2017
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(CIO Mag) – La cybersécurité est devenue un phénomène que l’on vit au quotidien et qui sape l’économie des entreprises, des Etats et de simples particuliers. C’est ce qu’a compris le professeur Baidy Sy (photo) en mettant à la disposition des autorités et des chercheurs un nouvel ouvrage sur la question. Intitulé En route vers l’émergence, le Sénégal face au défi de la cybersécurité, le livre préfacé par le spécialiste du droit, le Professeur Serigne Diop, a été présenté la semaine dernière à Dakar en présence de l’ex-ministre de la fonction publique, du travail et des relations avec les institutions, Mansour Sy qui se trouve être son père. L’auteur a profité de la tribune pour inviter les pouvoirs publics a redoubler d’efforts dans la lutte contre la cybercriminalité ” devenue un enjeu de défense nationale ” comme cité par l’Agence de Presse Sénégalaise (APS). Non sans oublier de mentionner que ” la cybersécurité n’est plus uniquement une affaire de spécialistes.

Diplômé de l’université Paris Dauphine, Baidy Sy, comme le précise la quatrième de couverture, a acquis plusieurs années d’expériences professionnelles et internationales dans le domaine du management des systèmes d’information et de la cybersécurité. Tout en rédigeant des articles, c’est aussi conférencier international qui dispense aussi des cours sur la question de la cybersécurité. L’ouvrage en est à sa première édition et s’échange contre 12.000 francs CFA. Tout est parti de sa volonté de contribuer à la théorisation et à la mise en oeuvre du Plan Sénégal Émergent qui, selon lui, ne saurait porter ses fruits sans une réelle stratégie de cybersécurité. Le consultant en cybersécurité dit noter que le digital tout en étant un facteur indéniable de développement, “est aussi comme une opportunité pour les individus malveillants ou les organisations de commettre des actes délictuels ou criminels”.

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Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h.

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