(CIO Mag) – Comment parachever rapidement le processus enclenché en 2016 lors du sommet de l’Union Internationale des Télécommunications qui s’est tenu à Bangkok ? C’est tout l’enjeu à l’heure actuelle. Cette année-là, les directeurs généraux en charge du développement numérique dans leurs Etats respectifs (Madagascar, Nigéria, Cameroun, Ghana, Kenya, Gabon, Rwanda et Zimbabwe) s’étaient engagés, aux côtés du Sénégal, à constituer un cadre de concertation et de partage d’expériences dans le domaine de l’administration électronique sur le continent à travers l’association en question.
Le directeur général de l’Agence de l’informatique de l’Etat du Sénégal (ADIE), en déplacement à Kigali, pour les besoins du deuxième forum économique de Transform Africa Summit et du cinquième Transform Africa Summit a demandé à ses équipes de travailler à la création d’une organisation qui regrouperait les agences africaines et toutes les structures en charge du volet opérationnel du développement du numérique. Cheikh Bakhoum dit ne pas se faire d’illusion quant à l’efficacité d’une telle association qui pourrait se rendre très utile dans la définition de politiques pour la régulation du cyberespace, notamment.
Elimane, Dakar