Sénégal : l’ARTP et Facebook organisent une session de formation à l’usage des réseaux sociaux

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  • 24 août 2017
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(CIO Mag) – C’est une initiative qui sonne comme un clin d’œil à la série de dérives notées sur les réseaux sociaux ces derniers jours au Sénégal,. L’Autorité de régulation des télécommunications et des postes (ARTP) s’allie avec Facebook pour la tenue d’une session de formation sur le sujet mardi prochain à Dakar. La rencontre prévue à partir de 9 heures à l’hôtel Radisson Blu va s’intéresser en particulier au code de conduite à adopter sur Internet. Le directeur général de l’ARTP va présider l’atelier aux côtés de la directrice des politiques publiques de Facebook. Des représentants de la présidence de la République du Sénégal, de la Primature, du ministère des postes et télécommunications, le Fonds de développement universel des télécommunications, du Centre d’études des sciences et techniques de l’information ou encore de l’Agence de l’Informatique de l’Etat vont aussi y prendre part.

Au cours de ces échanges qui vont porter sur le thème : “Réseaux sociaux : Outil de changement positif sans abus ?”, les politiques de Facebook, qui revendique aujourd’hui un milliard d’utilisateurs, seront abordées par les participants sous l’angle de la publication de contenus abusifs. Le communiqué annonce aussi que les opportunités d’utilisation des réseaux sociaux comme véhicule de changement positif devrait également faire partie des points à l’ordre du jour. La programmation de l’atelier en question fait suite aux arrestations de l’habitante de Agnam (Nord), Penda Bâ et de l’artiste Amy Collé Dieng pour des propos jugés offensants et déplacés. Toutes les deux ont bénéficié dernièrement d’une mise en liberté provisoire. Quant à celui qu’on appelle désormais l’insulteur du Net, Assane Diouf, il est toujours aux mains des services de l’immigration américaine, non pas pour ses propos offensants envers le Chef de l’Etat, Macky Sall et d’autres autorités sénégalaises, mais pour apologie du terrorisme.

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Mais ils étaient beaucoup plus rapides et plus grands. Le peu de voitures qui circulaient encore étaient ultra sécurisées. C'est pourquoi la vitesse maximum autorisée avait été portée à 230km/h.

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